Le rôle des émotions dans le conte thérapeutique
Le rôle des émotions dans le conte thérapeutique
Aidez votre enfant à gérer ses émotions par les contes
La gestion des émotions influence et détermine le reste de la personnalité
La gestion des émotions influence et détermine le reste de la personnalité
Comment aider votre enfant à ?
- Donner du sens à certains événements
- Les mettre à distance
- Se projeter sur les conséquences
- S’identifier à quelqu’un qui est passé par là
Tout le monde (parents, professionnels, engagé dans le monde scolaire, associatif ou socio-culturel…) a en mémoire le souvenir d’un conte qui a eu des vertus thérapeutiques. En montrant ce qui se passe dans le monde interne, le conte peut aider les enfants à donner du sens à certaines émotions et situations, à la fois en les mettant à distance, et en s’identifiant en même temps ou en les projetant sur des personnages imaginaires capable de les supporter.
Ainsi, on peut s’accorder pour dire que le conte peut être mis au service de la gestion de l’émotion, car dans tous nos comportements, raisonnements, analyses, choix…,
Tout le monde (parents, professionnels, engagé dans le monde scolaire, associatif ou socio-culturel…) a en mémoire le souvenir d’un conte qui a eu des vertus thérapeutiques. En montrant ce qui se passe dans le monde interne, le conte peut aider les enfants à donner du sens à certaines émotions et situations, à la fois en les mettant à distance, et en s’identifiant en même temps ou en les projetant sur des personnages imaginaires capable de les supporter.
Ainsi, on peut s’accorder pour dire que le conte peut être mis au service de la gestion de l’émotion, car dans tous nos comportements, raisonnements, analyses, choix…,
Les émotions ressenties dans l’enfance vont se rassembler comme dans une bibliothèque en 6 grandes rubriques que nous partageons avec les animaux, en 6 référentiels.
Les événements de la vie de tous les jours vont être archivés dans chaque rubrique
A quoi servent les émotions ?
- LA PEUR sert à éviter les dangers
Par extension elle peut se transformer en terreur, appréhension, crainte
- LA SURPRISE sert à éveiller les sens face à l’inconnu)
Par extension elle peut devenir de l’étonnement, de la distraction, du désappointement
- LA TRISTESSE sert à provoquer des attitudes, des larmes pour montrer une souffrance
Par extension elle peut conduire au chagrin, au remord
- LE DEGOUT sert à éviter de manger n’importe quoi.
Par extension, il peut provoquer l’aversion, l’ennui, le mépris …
- LA COLERE sert à menacer ou fournir de l’énergie pour franchir un obstacle.
Par extension elle peut produire la rage, la contrariété, l’agressivité
- LA JOIE maintient le lien, le plaisir.
Par extension elle provoque l’extase, la sérénité, l’optimisme, l’amour, l’intérêt, la confiance, l’admiration…
Selon sa culture, son histoire personnelle, la manière d’y réagir, sa personnalité, son vécu, l’émotion prend alors un sens particulier.
Ce qu’on a vécu tout petit (dès le ventre maternel) peut donc influencer une prise de décision 20-ou 30 ans après, si le référentiel est activé par une situation.
Les émotions ressenties dans l’enfance vont se rassembler comme dans une bibliothèque en 6 grandes rubriques que nous partageons avec les animaux, en 6 référentiels.
Les événements de la vie de tous les jours vont être archivés dans chaque rubrique
A quoi servent les émotions ?
- LA PEUR sert à éviter les dangers
Par extension elle peut se transformer en terreur, appréhension, crainte
- LA SURPRISE sert à éveiller les sens face à l’inconnu)
Par extension elle peut devenir de l’étonnement, de la distraction, du désappointement
- LA TRISTESSE sert à provoquer des attitudes, des larmes pour montrer une souffrance
Par extension elle peut conduire au chagrin, au remord
- LE DEGOUT sert à éviter de manger n’importe quoi.
Par extension, il peut provoquer l’aversion, l’ennui, le mépris …
- LA COLERE sert à menacer ou fournir de l’énergie pour franchir un obstacle.
Par extension elle peut produire la rage, la contrariété, l’agressivité
- LA JOIE maintient le lien, le plaisir.
Par extension elle provoque l’extase, la sérénité, l’optimisme, l’amour, l’intérêt, la confiance, l’admiration…
Selon sa culture, son histoire personnelle, la manière d’y réagir, sa personnalité, son vécu, l’émotion prend alors un sens particulier.
Ce qu’on a vécu tout petit (dès le ventre maternel) peut donc influencer une prise de décision 20-ou 30 ans après, si le référentiel est activé par une situation.
L'éclairage de Pauline
L'émotion est mesurable dans le corps
Une émotion est une action mesurable dans le corps par l’expression faciale, la posture, et par une action interne dans le cœur, les poumons et au niveau hormonal,
Dans l’émotion il y a une expérience dans le corps, des manifestations faciales, corporelles, non verbales personnelles ou liées à l’éducation et à la culture.
Un sentiment est un mix de plusieurs émotions. Selon la manière dont le sentiment sera exprimé, cela créera une situation particulière en lien avec un contexte particulier. Parallèlement, le contexte va susciter des émotions, des sentiments, pour stimuler les capacités adaptatives.
Lorsque face à une situation, plusieurs émotions se superposent, cela aboutit à des sentiments complexes et souvent douloureux.
Il y a donc des milliers de sentiments qu’on peut aussi appeler émotions complexes (Jalousie, timidité, gratitude, fierté, honte, frustration…)
Les sentiments sont assimilés à des pensées
A l’inverse, les sentiments sont subjectifs, privés, personnels, il s’agit plutôt de pensées et pas seulement de comportements primaires.
Le sentiment est un mélange d’émotions : la joie et l’acceptation mises ensemble provoquent par exemple l’amour ; la joie et la peur ressenties sur une même situation peuvent provoquer la culpabilité…
L’intelligence émotionnelle est la capacité à enlever la partie toxique associé à un évènement. (cf La notion de pardon : lorsque l’on a enfoncé un clou, on peut retirer le clou et laisser cicatriser la blessure, mais la cicatrice se verra même si la douleur a disparue)
L’objectif avec l’émotion, ce n’est pas de la combattre, ni de l’annuler, mais de l’empêcher de rester bloquée.