Description

Comprendre les processus sous-jacents de l’échec et de la réussite

A partir de 6 ans

Pour certains, la frontière entre l’échec et la réussite est mince; d’un côté la réussite est gardée par la confiance, la persévérance et la sérénite, mais elle est constamment convoitée de l’autre côté par le découragement et tous ses acolytes. Cette lutte sans concession pour gagner du terrain est souvent difficile à conceptualiser.

La conduite d’échec est souvent liée à d’imposants facteurs psychiques (image dévalorisée de soi, faible estime de soi, sentiment d’incompétence, découragement, perte de confiance en soi et en l’autre…) et a des mécanismes défensifs, ( conscient ou inconscient), qui peuvent rendre la personne impuissante face à la surestimation des risques, à la peur de l’échec, à la perte de l’envie et de la motivation, à l’ auto sabotage compulsif… liés souvent à des identifications négatives…
Ces comportements provoquent alors des difficultés mentales ( trouble du
comportement, anxiété, dépression …) et sociales (peurs diverses, évitement,
isolement, phobies sociales, compensations obsessionnelles…)…
Face aux difficultés à inhiber ou à résister aux pensées disproportionnées d’échec ( qui maintiennent l’insécurité), aux réticences à persévérer, à pratiquer l’auto- soin, à tirer des leçons de l’échec, il y a la nécessité urgente de réactiver les forces de vie, la confiance en soi et en la vie pour avancer, à mobiliser les ressources et les forces internes de résilience ( devant le traumatisme primaire), à lâcher prise, à sortir de la prison des plaintes et des croyances, à chasser le sentiment d’infériorité sous – jacent et l’autocritique, à se fixer des objectifs réalistes et accessibles (pour se re-
familiariser avec le succès…
Appréhender les mouvements de la vie comme des expérimentations pratiques pour résoudre les points de fragilité, peut aider à prendre conscience et à dépasser ses peurs, et surtout à reussir.