Scampa et Maya

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Description

Comment limiter les répétitions comportementales transgénérationnelles

A partir de 6 ans

L’enfance nous impose une famille, des parents, un milieu, des événements et des traumatismes. Mais ne nous y trompons pas, nous prenons conscience de notre histoire, identifions nos blessures et faisons un choix audacieux pour notre vie idéale. Libérer l’emprise de l’enfance et libérer les schémas familiaux est un défi, mais pas insurmontable.

Scampa en est un exemple vivant : en identifiant ses blessures, elle a courageusement changé le cours des destinées familiales.

Chez l’homme le processus de croissance (sociale, psychique,
émotionnelle…) se met en place très tôt grâce à l’imitation de modèle
(parentaux ou autres). Sous la pression naturelle des exigences
identificatoires aux figures d’attachement l’enfant va progressivement
adopter (consciemment ou inconsciemment) les modèles relationnels
instaurés par les parents. Il peut alors arriver qu’un schéma
d’attachement ou un mode relationnel pathologique soit aussi intégré et
reproduit.
Pourtant, tout ce qui a pu dans la relation, dépasser les capacités
psychiques et émotionnelles à un moment, va essayer de se libérer par
des processus de transfert inconscient, de répétition ou de retournement
( passer du passif à l’actif), dans un contexte de gestion d’une culpabilité
inconsciente.
A l’inverse de l’évitement ou de la fixation, La répétition ( consciente ou
inconsciente) de situations douloureuses ou traumatiques peut
représenter une tentative pour le psychisme de mieux maîtriser, d’agir
(sans mentaliser quelquefois ) de rejouer différents rôles  (victime,
agresseur), de s’approprier les enjeux, pour les revivre dans différentes
déclinaisons et pour les vider de leur charge affective ou émotionnelle.
La persistance des sentiments de déception, de vengeance, ou de
frustrations, la quête effrénée d’artefacts ou de relations pour combler le
manque… signerait l’échec de la tentative de réparation, et la
réactivation des blessures d’abandon, de rejet, d’échec …
C’est dans le développement de la créativité ( capacité à créer du bon
avec du mauvais, a réinventer et adopter de nouveaux idéaux et
modèles relationnels) que la réparation peut transformer la fameuse
maxime : « on ne peut pas donner ce que l’on n’a pas reçus », en
chemin de résilience  ( capacité à surmonter les expériences difficiles).

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